Giuseppe Salvatore était le mari de Lillian Salvatore et le père de Damon, Stefan et d'un enfant inconnu. Il est responsable avec les autres membres du conseil de l'emprisonnement de vingt-six vampires en 1864, mais qui furent sauvés par Emily Bennett.
Giuseppe est un membre de la Famille Salvatore et du Conseil des Fondateurs.
Saison 1[]
On apprend lors de flashbacks qu'en 1864, il a mené la ville à exterminer la race des vampires. C'est lui qui a tiré sur ses 2 fils considérant que leurs actes était une trahison. Après cela, Stefan voulut faire ses adieux à son père en lui disant qu'il allait se laisser mourir. Mais Giuseppe, aveuglé par la colère, brisa une canne en deux et voulut la planter dans le coeur de son fils. Instinctivement, Stefan évita le coup et envoya son père bouler contre le mur. Accidentèlement, Giuseppe fut transpercer par le pieu et mourut devant son fils. Dans ses derniers instants, il haïssait toujours son fils. Stefan but le sang de son père et acheva sa transformation.
Saison 7[]
On le voit dans l'Episode 7x07 : En finir avec le passé : Quand il était jeunes et qu'il maltraitait sa femme et ses enfant en particulier Damon.
Dans les livres : Le Journal de Stefan Tome 1[]
On en apprend nettement plus sur Giuseppe dans ce premier tome. Il immigra d'Italie pour s'installer en Virginie et réussi à faire fortune et à acheter le domaine Véritas à Mystic Falls. Il y vécu de longues années avec ses deux fils et finit par devenir veuf. Au début du roman, Giuseppe fiança son fils à Rosalyn Cartwright, une amie de Stefan, sans se préocupper nullement de l'avis de ce dernier. Il força aussi Damon à partir à la guerre.
Il hébergea nottamment Katherine Pierce et à la mort de Rosalyn, s'engagea énormément dans la chasse aux vampires avec les ancêtres de Caroline Forbes, Tyler Lockwood, d'Elena et Jérémy Gilbert, et de Meredith Fell.
C'est lui qui donna à Stefan de la veine de vénus à boire afin de piéger Katherine.
Comme dans le vingtième épisode de la première saison, Giuseppe meurt dans les bras de Stefan.
